Résumé : |
Pour pallier le risque de dénutrition lié aux cancers, il faut être attentif à l'aspect quantitatif de l'alimentation mais aussi à sa dimension hédonique. La chimiothérapie modifie les perceptions sensorielles (goût, odorat) soit en les altérant, soit en les exacerbant, ce qui diminue le plaisir de manger. Les patients doivent être informés de ce possible désagrément et incités à le signaler dans le but d'adopter des stratégies et de regagner en qualité de vie. |