Résumé : |
La question du refus de prise en charge de l'hygiène corporelle par le patient atteint de schizophrénie, notamment en période de décompensation, bien que fréquente, est un exercice plus compliqué qu'il n'y paraît. Elle demande tact et délicatesse. En outre, il est toujours difficile de dissocier la part du pathologique du non pathologqiue dans ce que l'on peut qualifier d'attitude d'opposition. |