Résumé : |
Au yeux des observateurs superficiels qui ne veulent voir que sa façade de décadence, frivole et licencieuse, le 18è siècle a mauvaise réputation. Civilisation de fêtes galantes, de "bibelots, boudoirs et brimborions", oublieuse du passé et insouciante de l'avenir ? L'âge de Louis XV fut sans doute aussi cela. Tout au long du siècle, la peinture donna le fidèle reflet de ces tentations inconciliables du Plaisir et de la Raison, de la Sensualité et de la Loi.
|